En prenant le surnom « Epilepticman », Alexandre Lafont témoigne de son quotidien d’adolescent et de jeune adulte épileptique sur YouTube depuis plus de 2 ans. De façon humoristique, il fait connaître les particularités de certaines crises d’épilepsie, dénonce les stéréotypes associés à cette maladie et montre les difficultés rencontrées dans la vie quotidienne. Avec un ton inspiré des YouTubeurs les plus populaires, son approche permet de donner de la visibilité aux problématiques vécues par les malades.
Certaines de ses vidéos ont été réalisées en partenariat avec la Fédération Française de recherche sur l’épilepsie.
Il livre son expérience dans un livre publié en avril 2018 chez Plon, intitulé "Je suis Epilepticman" et a été l’invité de plusieurs émissions télévisées.
Auteur : Alexandre Lafont
Éditeur : Plon
Date de parution : avril 2018
Pages : 288
Sources :
www.lisez.com/livre-grand-format/je-suis-epilepticman/9782259264037
www.youtube.com/channel/UC1ftxaS11LQC0pq-yQw4z5g
Faut-il parler de son épilepsie sur son lieu de travail ?
Dans un témoignage poignant, Madame L. revient sur le silence qu’elle a adopté lorsqu’elle occupait un emploi, et combien ce silence lui a longtemps pesé…
Que se passe-t-il dans les minutes qui suivent la crise ?
L’amnésie de la crise fait que les souvenirs concernent surtout les premiers instants où l’on recouvre la conscience, perdu et désorienté, comme Mme L. en a fait l’expérience…
Valencia, Espagne. Ana, se bat avec le tournage de son premier film. Elle est au bord du gouffre : le tournage se passe mal, les travaux de l’appartement qu’elle vient d’acheter n’en finissent plus, son mec, resté à Paris, refuse de venir l’aider. Pour couronner le tout, la mère d’Ana débarque, avec sa valise de non-dits, et les conflits que cela engendre avec sa fille.
Mais Ana a une particularité : elle est épileptique. Avec tout ce que ça comporte d’interdits. Eviter le stress : un tournage à l’étranger avec deux balles en poche, un chantier espagnol, c’est 100% stress. Ne pas boire : à chaque coin de rue, il y a une terrasse, 100% impossible de résister à une bière. Un homme qui l’insécurise, une mère névrosée qui ne veut jamais parler avec elle de sa maladie : c’est 100% émotions dévastatrices...
Un challenge un peu rude pour Ana, qui tente tant bien que mal de s’en tirer.
Un seul exutoire pour Ana : écouter du boléro. Ce qu’elle fait précisément le soir où tout va basculer dans sa vie...
Lire le dossier de presse